2025 : année de la transformation
Comme nous l’avons vu dans les articles précédents, l’impact des changements structurels et des changements métiers impose des transformations systémiques et désormais augmentées à l’IA. Limiter sa transformation à un seul champ (Ingénierie, Développement, Offre…), c’est prendre le risque de déséquilibrer son organisation, de perturber ses équipes, de fragiliser sa chaîne de valeur ou d’aboutir à une organisation inadaptée et peu à la hauteur des enjeux !
Transformation vs Transformation systémique
Mais engager une « vraie » transformation, c’est s’appuyer sur une vision objective et critique de l’état de ses process et de sa chaîne de valeur. Il est impératif de savoir ce qui fonctionne, ce qui fonctionne bien, ce qui fonctionne moins bien et même, si besoin, de savoir si ces constats sont partagés ou pas. En ce sens, il peut être riche d’enseignements de confronter les feedbacks des différents acteurs de l’organisme de formation (direction, conseil d’administration, collaborateurs) et même des acteurs externes (partenaires, financeurs, clients…). Avec l’objectif d’accéder à une vision 360 des réalités de la structure et pour imaginer une transformation systémique à 360 degrés !
Transformation partagée
Associer l’ensemble des parties prenantes de l’organisme, c’est aussi créer les conditions d’une « vraie » transformation : profonde, réelle et durable. C’est ce qui permet de transformer des défis parfois abstraits en autant de chantiers opérationnels et concrets, que chacun peut s’approprier et porter. C’est ce qui permet d’opérationnaliser la transformation : à chaque défi-chantier, son sponsor, son objectif, son délai, son livrable de sortie et sa recette. C’est ce qui permet, tout simplement, de relier les vecteurs de transformation et les défis métiers et de passer vraiment dans l’action.
En synthèse, voici comment les défis que nous avons identifiés précédemment peuvent être déclinés en chantiers :
Alors ? Êtes-vous prêts ?